Sur la route, ça n'est que campagnes, portant les reste du communisme, sinistres carcasses de fer, mortes et rouillées. Et puis il y a les trains et les briques rouges, usées, tous usés. Les babas sur les bancs devant les maisons, au crépuscule. Toujours les mêmes, toujours là, regardant le jour qui baisse, usées elles aussi.
vendredi 1 octobre 2010
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